LYON 2 BORDEAUX 0

Une seule finale de coupe entre les deux équipes Lyon et Bordeaux

Finale de Coupe de France 1964 à Colombes

Lyon bat Bordeaux 2-0

Spectateurs 32.777 Arbitre : Mr Faucheux
Buts : Combin ( 12ème et 26ème )
Olympique de Lyon : Aubour – Djorkaeff,Polak,Mignot – Degeorges,Leborgne – Dumas, Di Nallo, Combin, Hatchi,Rambert –
Girondins de Bordeaux : Ranouil –Moevi,Rey,Chorda –Navarro,Calleja- Keita,De Bourgoing,Gori,Abossolo,Robuschi –

Les hasards du calendrier font parfois ……mal les choses.
Ainsi, avant de se retrouver pour une finale de Coupe 1964 qui sent bon ….la poudre, Lyonnais et Bordelais avaient un contentieux à régler .
Ce n'était pas la guerre, ce n'était pas la paix pour autant .

Engagé sur tous les fronts, y compris celui de la Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupe, l'Olympique Lyonnais avait demandé à Bordeaux de décaler son match de championnat, prévu le 3 mai .

Les Girondins refusent tout net . Alors Lyon envoya au stade municipal de Bordeaux, son équipe réserve , elle était ainsi composée :

Chauveau- Ré- Glycinski, Gardon- Vialla, Clavier – Moundi, Rivoire,Pelisson, Nouzaret, Akelian .

La victoire girondine (3-0) ne servira à rien . Elle ne sera pas homologuée .
Lyonnais et Bordelais, en arrivant au stade Yves du Manoir de Colombes, ne cèdent ni aux politesses en usage ni aux risettes forcées .

L' OL a accompli une remarquable saison, mais courant trois lièvres à la fois ( championnat,Coupes des Coupes et Coupe de France ) s'inquiète .
Il craint plus ou moins inconsciemment, et comme le souligne le rusé Lucien Jasseron son entraîneur, de "tout perdre alors qu'il était si près de tout gagner " .

Ce n'est pas la joie, non plus, de l'autre côté des vestiaires .
Bordeaux n'a jamais connu l'ivresse de boire la Coupe jusqu'à la lie – sauf pendant la période de la deuxième guerre mondiale – et Salvador Artigas, un meneur d'hommes, aussi dur pour lui même qu'avec les autre, vient décarter sans ambages Didier Couecou, jeune homme turbulent de 19ans, de la grande fête populaire.

Bordeaux base son jeu sur une puissance athlétique peu commune et qui ne sera plus appréciée à l'époque qu'un peu plus tard, sur une défense de fer qui ne badine pas avec l'accès de son propre but …

Lyon, "mitonné" par Jasseron a, lui aussi, serré la garde et prône le jeu en contres .
Il est vrai qu'avec le "renard" d'Angel Rambert, le diablotin Fleury Di Nallo et le "bison futé" Nestor Combin , ( un Franco-Argentin dont le faciès d'Indien Basané laisse croire que son granp-père n'était pas …..Breton ) , l'OL possède des arguments offensifs beaucoup plus convaincants et percutants .

Rambert est le meilleur remiseur lyonnais, c'est à dire celui qui offre sur un plateau le plus de buts à ses partenaires, Di Nallo est un footballeur râblé, vif comme l'éclair et malin comme une " fouine " .

On l'a déjà surnommé le " Petit Prince de Gerland " ( comme un peu plus Alain Giresse avec Lescure ! ) ….et Nestor Combin va devenir très bientôt : Nestor la Foudre .

Devant 32.777 spectateurs payants et, semble t-il, équitablement partagés entre la puissance girondine et la ruse lyonnaise, ce sont les "Gones" qui abordent la finale avec le plus de combativité, de détermination .

Un peu à la surprise générale car les Girondins n'ont jamais été considérés comme des "enfants de chœurs " dans ce domaine . Les affaires ne traînent d'ailleurs pas .

C'est Combin qui est, une nouvelle fois, l'artisan principal de la victoire rhodanienne . Il a marqué à ce jour, plus de 100 buts dans une saison folle, folle,folle . Il ne pouvait pas, décemment, s'arrêter en si bon chemin .

A la 12ème minute, il reçoit une longue transversalle de Leborgne , un Breton d'origine – comme son nom l'indique cette fois ! – costaud, fier, têtu comme les gens de sa race .

Nestor amortit le ballon, résiste à la charge de Claude Rey, un libéro en avance sur son temps, file sur le droite de la surface de réparation, contourne l'ultime geste désespéré d'intervention exécuté par Guy Calléja et adresse un tir fracassant et croisé d'une violence telle que Ranouil, un gardien formé à la fameuse école girondine, ne peut contrôler .

Combin entame déjà une danse de "Sioux" endiablée . Il récidivera quatorze minutes plus tard .

"Nestor la foudre" malgré Calléja et Rey

Cette fois, à la 26ème minute, c'est Angel Rambert, son copain, son ami, son frère, qui lui envoie un ballon en or, "oune caviar" dira plus tard Combin dans son langage imagé et argentinisé ( à la Trezeguet ) .

La reprise de volée est superbe, fracassante. On croit même un moment que le ballon va trouer les filets bordelais .

Ranouil n'a rien pu faire, s'il avait été sur la trajectoire du tir, il aurait passé le reste du match à ……l'infirmerie ! il accusa le coup, comme tous ses coéquipiers, rapidement menés 2-0 .

Dotés eux aussi, d'une jolie force de caractère, ils essaieront bien de revenir à la surface, de lutter pied à pied sur le plan physique et même de combattre, les armes techniques à la main, sous la direction des maîtres à jouer, Hector De Bourgoing qui disputera deux ans plus tard, la Coupe du Monde en Angleterre sous le maillot tricolore et de Gaby Abossolo, ce Camerounais qui marqua un but devenu légendaire de quarantes mètres ( à la Zidane déjà ) au Racingman Varini …

Le travail de Jasseron qui s'était acharné à son arrivée à Lyon à mettre sur pied un système mieux équilibré entre attaque et défense, paie au fil des minutes . La défense fait front et bonne garde, l'attaque continue de perturber l'adversaire en lui décochant des flèches venimeuses . La lourde machine girondine a beau maintenant être lancée à plein régime, plus rie ne passera d'un côté comme de l'autre.

Quelques incidents – conséquence de l'électricité da,ns l'air et d'un engagement féroce, parfois – éclatent en fin de match : Laurent Robuschi, un des meilleurs de France malgré sa petite taille , qui disputera lui aussi le Mondial, fait des misères à Jean Djorkaeff ( le père à Youri) futur capitaine de l'équipe de France, puis propulse Aubour sur un poteau de but .

Marcel en "rajoute" quelque peu . André Chorda que le jeune espoir, Dumas – brisé un peu plus tard dans son élan, par un grave accident – a provoqué, se fait expulsé avec son adversaire à la 82ème minute .

Mais le match acharné, vivant, alerte, viril passionnant et passionné , est en quelque sorte fini depuis belle lurette .

Lyon, au terme d'une saison exemplaire, remporte logiquement son premier trophée . Nestor s'abreuve de champagne pétillant et boit à même la Coupe, à ne plus en avoir soif pour le restant de ses jours .

Rambert,Leborgne,Jasseron et tous les Lyonnais essuient une larme furtive .

Fleury Di Nallo, sourit aux anges . Le petit prince va devenir roi de la coupe . Il se comporte déjà comme s'il le savait …
Et pendant ce temps, Didier Couecou boude toujours dans son coin !….

Génial ce compte-rendu... Merci Napeso, c'est une nouvelle fois un régal!!!

Espérons juste que cette fois-ci, la Coupe débarque en Gironde !!!

MARINES ET BLANCS ALLEZ...

Merci Napeso pour ce super compte-rendu.

Comme dit Fred, espérons... Après tout, là on a une revanche à prendre.

Sympa ce petit retour en arrière, merci !
Mais cette fois, la coupe sera pour nous !

Merci Francis!

Une raison de plus de ramener cette coupe à la maison !

Nostalgie c'est pas cense etre les bons souvenirs?

Serieusement, merci beaucoup pour ce retour en arriere Nap'... Tout compte fait, ca ne me surprend pas tant que ca que ce soit notre deuxieme opposition en finale de l'histoire....

[quote="napeso"]Une seule finale de coupe entre les deux équipes Lyon et Bordeaux

Finale de Coupe de France 1964 à Colombes

Lyon bat Bordeaux 2-0

Spectateurs 32.777 Arbitre : Mr Faucheux
Buts : Combin ( 12ème et 26ème )
Olympique de Lyon : Aubour – Djorkaeff,Polak,Mignot – Degeorges,Leborgne – Dumas, Di Nallo, Combin, Hatchi,Rambert –
Girondins de Bordeaux : Ranouil –Moevi,Rey,Chorda –Navarro,Calleja- Keita,De Bourgoing,Gori,Abossolo,Robuschi –

merci NAP on y était !!!!
au stade de colombes..

avec un espèce de petit calot en papier sur la tête et le drapeau des girondins à la main.

au début on criait comme des fous, ensuite on a pris un but... ça calme un peu nos ardeurs... après le second but on a mis les calots et drapeau dans les poches et on a attendu la fin du match.
on a repris le car qui nous amenait à la gare d' austerlitz et en guise de belle fête, on a dormi dans le train jusqu'à bordeaux...

c'était le bon temps, révolu de nos jours... nostalgie quand tu nous tiens !!


bonne soirée francis et ne change rien.

napeso a écrit:

Une seule finale de coupe entre les deux équipes Lyon et Bordeaux

Finale de Coupe de France 1964 à Colombes

Lyon bat Bordeaux 2-0

Spectateurs 32.777 Arbitre : Mr Faucheux
Buts : Combin ( 12ème et 26ème )
Olympique de Lyon : Aubour – Djorkaeff,Polak,Mignot – Degeorges,Leborgne – Dumas, Di Nallo, Combin, Hatchi,Rambert –
Girondins de Bordeaux : Ranouil –Moevi,Rey,Chorda –Navarro,Calleja- Keita,De Bourgoing,Gori,Abossolo,Robuschi –

Les hasards du calendrier font parfois ……mal les choses.
Ainsi, avant de se retrouver pour une finale de Coupe 1964 qui sent bon ….la poudre, Lyonnais et Bordelais avaient un contentieux à régler .
Ce n'était pas la guerre, ce n'était pas la paix pour autant .

Engagé sur tous les fronts, y compris celui de la Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupe, l'Olympique Lyonnais avait demandé à Bordeaux de décaler son match de championnat, prévu le 3 mai .

Les Girondins refusent tout net . Alors Lyon envoya au stade municipal de Bordeaux, son équipe réserve , elle était ainsi composée :

Chauveau- Ré- Glycinski, Gardon- Vialla, Clavier – Moundi, Rivoire,Pelisson, Nouzaret, Akelian .

La victoire girondine (3-0) ne servira à rien . Elle ne sera pas homologuée .
Lyonnais et Bordelais, en arrivant au stade Yves du Manoir de Colombes, ne cèdent ni aux politesses en usage ni aux risettes forcées .

L' OL a accompli une remarquable saison, mais courant trois lièvres à la fois ( championnat,Coupes des Coupes et Coupe de France ) s'inquiète .
Il craint plus ou moins inconsciemment, et comme le souligne le rusé Lucien Jasseron son entraîneur, de "tout perdre alors qu'il était si près de tout gagner " .

Ce n'est pas la joie, non plus, de l'autre côté des vestiaires .
Bordeaux n'a jamais connu l'ivresse de boire la Coupe jusqu'à la lie – sauf pendant la période de la deuxième guerre mondiale – et Salvador Artigas, un meneur d'hommes, aussi dur pour lui même qu'avec les autre, vient décarter sans ambages Didier Couecou, jeune homme turbulent de 19ans, de la grande fête populaire.

Bordeaux base son jeu sur une puissance athlétique peu commune et qui ne sera plus appréciée à l'époque qu'un peu plus tard, sur une défense de fer qui ne badine pas avec l'accès de son propre but …

Lyon, "mitonné" par Jasseron a, lui aussi, serré la garde et prône le jeu en contres .
Il est vrai qu'avec le "renard" d'Angel Rambert, le diablotin Fleury Di Nallo et le "bison futé" Nestor Combin , ( un Franco-Argentin dont le faciès d'Indien Basané laisse croire que son granp-père n'était pas …..Breton ) , l'OL possède des arguments offensifs beaucoup plus convaincants et percutants .

Rambert est le meilleur remiseur lyonnais, c'est à dire celui qui offre sur un plateau le plus de buts à ses partenaires, Di Nallo est un footballeur râblé, vif comme l'éclair et malin comme une " fouine " .

On l'a déjà surnommé le " Petit Prince de Gerland " ( comme un peu plus Alain Giresse avec Lescure ! ) ….et Nestor Combin va devenir très bientôt : Nestor la Foudre .

Devant 32.777 spectateurs payants et, semble t-il, équitablement partagés entre la puissance girondine et la ruse lyonnaise, ce sont les "Gones" qui abordent la finale avec le plus de combativité, de détermination .

Un peu à la surprise générale car les Girondins n'ont jamais été considérés comme des "enfants de chœurs " dans ce domaine . Les affaires ne traînent d'ailleurs pas .

C'est Combin qui est, une nouvelle fois, l'artisan principal de la victoire rhodanienne . Il a marqué à ce jour, plus de 100 buts dans une saison folle, folle,folle . Il ne pouvait pas, décemment, s'arrêter en si bon chemin .

A la 12ème minute, il reçoit une longue transversalle de Leborgne , un Breton d'origine – comme son nom l'indique cette fois ! – costaud, fier, têtu comme les gens de sa race .

Nestor amortit le ballon, résiste à la charge de Claude Rey, un libéro en avance sur son temps, file sur le droite de la surface de réparation, contourne l'ultime geste désespéré d'intervention exécuté par Guy Calléja et adresse un tir fracassant et croisé d'une violence telle que Ranouil, un gardien formé à la fameuse école girondine, ne peut contrôler .

Combin entame déjà une danse de "Sioux" endiablée . Il récidivera quatorze minutes plus tard .

"Nestor la foudre" malgré Calléja et Rey

Cette fois, à la 26ème minute, c'est Angel Rambert, son copain, son ami, son frère, qui lui envoie un ballon en or, "oune caviar" dira plus tard Combin dans son langage imagé et argentinisé ( à la Trezeguet ) .

La reprise de volée est superbe, fracassante. On croit même un moment que le ballon va trouer les filets bordelais .

Ranouil n'a rien pu faire, s'il avait été sur la trajectoire du tir, il aurait passé le reste du match à ……l'infirmerie ! il accusa le coup, comme tous ses coéquipiers, rapidement menés 2-0 .

Dotés eux aussi, d'une jolie force de caractère, ils essaieront bien de revenir à la surface, de lutter pied à pied sur le plan physique et même de combattre, les armes techniques à la main, sous la direction des maîtres à jouer, Hector De Bourgoing qui disputera deux ans plus tard, la Coupe du Monde en Angleterre sous le maillot tricolore et de Gaby Abossolo, ce Camerounais qui marqua un but devenu légendaire de quarantes mètres ( à la Zidane déjà ) au Racingman Varini …

Le travail de Jasseron qui s'était acharné à son arrivée à Lyon à mettre sur pied un système mieux équilibré entre attaque et défense, paie au fil des minutes . La défense fait front et bonne garde, l'attaque continue de perturber l'adversaire en lui décochant des flèches venimeuses . La lourde machine girondine a beau maintenant être lancée à plein régime, plus rie ne passera d'un côté comme de l'autre.

Quelques incidents – conséquence de l'électricité da,ns l'air et d'un engagement féroce, parfois – éclatent en fin de match : Laurent Robuschi, un des meilleurs de France malgré sa petite taille , qui disputera lui aussi le Mondial, fait des misères à Jean Djorkaeff ( le père à Youri) futur capitaine de l'équipe de France, puis propulse Aubour sur un poteau de but .

Marcel en "rajoute" quelque peu . André Chorda que le jeune espoir, Dumas – brisé un peu plus tard dans son élan, par un grave accident – a provoqué, se fait expulsé avec son adversaire à la 82ème minute .

Mais le match acharné, vivant, alerte, viril passionnant et passionné , est en quelque sorte fini depuis belle lurette .

Lyon, au terme d'une saison exemplaire, remporte logiquement son premier trophée . Nestor s'abreuve de champagne pétillant et boit à même la Coupe, à ne plus en avoir soif pour le restant de ses jours .

Rambert,Leborgne,Jasseron et tous les Lyonnais essuient une larme furtive .

Fleury Di Nallo, sourit aux anges . Le petit prince va devenir roi de la coupe . Il se comporte déjà comme s'il le savait …
Et pendant ce temps, Didier Couecou boude toujours dans son coin !….

il me semble que ce jour là navarro n'a pas joué tout le match.

d'ailleurs on se disait que s'il avait pu prendre combin "à la culotte" on aurait jamais pris 2 buts.
quand le coach disait à francisco navarro : " celui là tu le marques et tu ne le laches pas !", il suivait le mec jusqu'au vestiaire.

il me semble que le titulaire était bernard baudet. il devait y avoir aussi casties dans
l' équipe...
on avait aussi notre gaby... abossolo du cameroun, comme tu l'as souligné.
on croyait qu'il avait trois poumons. il courrait sans arrêt et aurait pu faire deux matches.
à l'époque on s'entrainait au jard à mérignac et après l'entrainement il faisait des tours de terrain et des jongles.
un jour cours clémenceau, en marchant, il faisait tomber une pièce de monnaie sur son pied et il la renvoyait en l'air la ratrappait avec sa main et recommençait jusqu'à la place gambetta.

on peut dire que ces gens avaient vraiment l'amour du football et ne faisait pas cinquante clubs dans leur carrière.
les "aficionados" qui étaient autour du terrain et dans les tribunes avaient une autre mentalité, aussi.

on ne parlait pas mal aux anciens et on n'avait pas de fumigènes à lancer.

il n'y avait pas de "stadiers"... pas de fouille, pas de jets de projectiles, pas de grillage autour du terrain, pas de conflit entre supporters.... autre temps autres moeurs ???

et je crois, un peu moins d'argent. il y a peut être un lien de cause à effet... chut...

encore merci francis pour ton boulot !!!
quand on a un ami comme toi on est fier de l'avoir supporté pendant 40 ans

Merci didier de mees dans les Landes !

En ce qui concerne l'équipe alignée ce jour là par Artigas, c'est bien Navarro qui a disputé cette finale ....Baudet lui, a joué les deux suivantes contre St Etienne en 1968 et contre l'OM en 1969, toutes les deux perdues d'ailleurs !

Au fait pourriez-vous me procurer des C........s * ! c'est la foire du gras non en ce moment ?

* dans le Sud-Ouest les C.......s se sont...... des Canards !

napeso a écrit:

Merci didier de mees dans les Landes !

En ce qui concerne l'équipe alignée ce jour là par Artigas, c'est bien Navarro qui a disputé cette finale ....Baudet lui, a joué les deux suivantes contre St Etienne en 1968 et contre l'OM en 1969, toutes les deux perdues d'ailleurs !

Au fait pourriez-vous me procurer des C........s * ! c'est la foire du gras non en ce moment ?

* dans le Sud-Ouest les C.......s se sont...... des Canards !

ah, mon dieu si a mees il pouvait y avoir autant de c.... que de maison, on en ferait des foies gras.
quoique en gironde, sur la leyre, il y a autant de c.... que de promeneurs et personne ne crie au sacandale. tant qu'on a les c...... pour pouvoir ramer, on se met sur le c..... au fond du canoé et on rame à avirons 5 bornes à l'heure.

avoue qu'on a du prose de pouvoir avoir assez de c..... pour ramer sur la leyre. ce n'est pas nos c..... de voisins qui vont nous le reprocher.

nostalgie quand tu nous tiens... ça c..... les c...... de vieillir !
traduction :
" ça coupe les cannes de vieillir "
vive les landes et vive le sud ouest et que lyon gagne ils le méritent bien après la belle saison qu'il ont faite. et puis devant ils ont du punch avec fred et juni ( fred plutôt dans le nez et juni plutôt au plexus, regarde les videos de mon ami pit et rik, super preuve de la beauté du jeu des gones... au fait: "il aime les gones michel"?

amitès NAP et à bientôt...