David Jemmali qui rime avec fidélité

Réagissez sur le plus fidèle des girondins...

C'est sûr que c'est l'un des plus fidèles. Et malgré le fait qu'il soit très attaché au club et tout, qu'il ait été assez fort lors des années précédentes, je le trouve depuis l'année dernière un ton en dessous, et je pense qu'un peu de concurrence à son poste ne lui ferait pas de mal.

Sur le match contre l'om il a eu beaucoup de mal a revenir sur certaines actions, j'espère que c'était "exceptionnel" mais je pense pas. En tout cas si il est à ce niveau durant toute la saison je crains que les adversaires en profitent et trouvent donc la faille plus facilement.

Citation :

Titularisé en défense centrale en raison de la suspension de Henrique et la mise à l'écart de Beto, David Jemmali a rempli sa mission avec sang-froid, application, sérieux. Hormis une entrée en matière délicate, l'habituel latéral droit a réussi une prestation de tout premier plan. En outre, il est l'auteur de la passe qui a amené le but de la victoire face à des Niçois désemparés. Plus ancien de l'équipe avec Ulrich Ramé, il achève sa neuvième saison au club. Une référence, donc, lorsqu'il s'agit de définir les objectifs. Sous le feu des questions, il avoue même que la Ligue des champions ne peut échapper aux Girondins.

Un but inscrit par Denilson au bout de 11 secondes de jeu sur une passe de David Jemmali, est-ce une combinaison que vous travaillez souvent à l'entraînement ?
Non, non... On voulait juste mettre la pression d'entrée sur cette équipe niçoise. On avait décidé de jouer long le premier ballon. On a eu la chance d'avoir le contre favorable. Ensuite, le talent de Denilson a fait le reste. Mais je ne sais pas si ce but a servi nos intérêts. On pouvait penser que le plus dur était fait, qu'on allait prendre confiance et dérouler. En même temps, le doute ne pouvait que s'installer dans l'esprit de nos adversaires. Cela n'a pas été le cas. Au contraire, les Niçois ont réalisé une bien meilleure première période que nous. Après, on s'est appuyés sur notre solidité défensive pour préserver notre acquis. Rien n'a été facile.

Vous avez mieux résisté en deuxième période, l'équipe a semblé un peu plus équilibrée. Comment l'expliquez-vous ?
A la mi-temps, on s'est dit qu'il fallait absolument se positionner plus haut. Car subir de la sorte encore quarante-cinq minutes, aucun doute, on aurait craqué à un moment donné. Et ce n'était pas le but. Alors, on a évolué un, voire deux crans, plus haut pour maintenir un pressing et essayer, à partir d'une bonne récupération, de marquer le deuxième. On n'est pas parvenu à aggraver le score, mais cela nous a permis de réussir une bien meilleure seconde mi-temps.

Même acquise dans la douleur, cette victoire vous permet de réaliser la bonne opération du week-end. Est-ce un soulagement ?
C'est un avantage de jouer le dimanche. Il permet de connaître le résultat de vos concurrents directs. Comme Lille et Auxerre avaient été tenus en échec, on était très motivés à l'idée de creuser à nouveau un écart important. On a rempli notre contrat. A quelques journées de la fin, c'était le coup à ne pas manquer.

Physiquement et collectivement, Bordeaux traverse une période difficile. S'accrocher, est-ce le mot clé du moment ?
Je dirais plutôt : il ne faut pas lâcher. On a accompli une trentaine de matches avec un état d'esprit irréprochable, il faut poursuivre dans cette voie. Pour autant, on ne va pas tout remettre en cause pour deux ou trois rencontres où on a été moins bien. J'ai vu que les critiques recommençaient à fuser, il faut les laisser de côté. Le plus important, je le répète avec force, c'est de ne pas lâcher.

Les critiques, c'est quand même Ulrich Ramé (voire notre édition de jeudi dernier) qui les a émises le premier.
Il n'a pas eu tort. Il vaut mieux pousser un coup de gueule maintenant qu'à la veille de Marseille (NDLR : le dernier match de la saison). Que certains l'aient mal pris ou pas, peu importe. Je pense que c'était le bon moment pour le faire et il a employé le ton adéquat tout y mettant les formes. Moi, cela ne m'a pas choqué. Son discours était le bienvenu. Par le passé, on a vécu des fins de saison délicates où on a raté la qualification en Ligue des champions pour un cheveu. Il a fait de la prévention.

Aujourd'hui, la route qui conduit à la Champions League est-elle dégagée ?
En partie. Il faut rester mesuré. Il suffit de deux ou trois nuls et autant de victoires pour Lille et Auxerre et tout peut être remis en cause. On ne va pas en parler trop tôt. Néanmoins, on ne va pas prétendre non plus qu'on joue l'UEFA ou quoi que ce soit. Moi, je n'ai jamais formulé d'objectif précis. Mais cette deuxième place, je ne la lâcherai pas.

Quand même, sept points d'avance à six journées de la fin, n'est-ce pas énorme ?
Oui, en plus avec un match en retard à Sochaux. En sachant que samedi prochain, il y a un Lille-Auxerre, intéressant pour nous. On pourra peut-être évoquer un peu plus la situation lundi matin.

Il faudrait un cataclysme pour ne pas y arriver, non ?
(Il s'enflamme) Oui, là j'arrête le foot si on ne finit pas deuxièmes. J'arrête tout. En gros, je deviens fou. Bon, on se calme. Non, c'est bien parti, il ne faut pas s'enflammer et ne rien lâcher. Soyons irréprochables jusqu'au bout.


Source : Sud-Ouest

Citation :

« David Jemmali finira stoppeur »

Guy Lacombe est l'entraîneur qui connaît le mieux David Jemmali. C'est lui qui l'a formé. C'est lui également qui l'a décalé sur le côté droit. Son premier match en D1, en mai 1995 à Bastia, ne s'était pas trop bien passé (6-3). « Le pauvre, ça a été un cauchemar pour lui, se souvient l'ancien responsable du centre de formation de l'AS Cannes. On l'avait fait jouer dans l'axe sur Drobjnak. Vraiment pas un cadeau ». Mais ce n'est pas la raison de sa reconversion en latéral.
« Je demandais à mes éducateurs de faire tourner les défenseurs à plusieurs postes afin que ces derniers aient une culture du football ». Débarqué sur la Côte d'Azur en moins de 17 ans avec l'étiquette de libero, Jemmali le Toulousain s'est définitivement spécialisé aux Girondins. « Souvent, quand on débute en pro, c'est mieux de commencer dans un couloir, où il y a moins de responsabilités », remarque Lacombe.
Pour tout ce qui concerne son sport, l'entraîneur du PSG a une mémoire d'éléphant. Heureusement pour son ancien élève, il retient aussi les bons moments. Son anecdote préférée concerne un Cannes-Monaco (1-1). « David a démarré arrière droit et à la mi-temps, je l'ai recentré. Je lui ai dit que le seul qui pouvait prendre Sonny Anderson de vitesse, c'était lui. La partie s'est jouée sur ces paroles-là. David a fait un grand match ».
Son avis rejoint donc celui de Ricardo. Il le voit finir sa carrière dans l'axe. « S'il y a complémentarité avec Planus, ce qui est la clé d'une bonne charnière, il a la prestance pour. Tactiquement, il connaît tous les principes. Si Pauleta terrasse Bordeaux, ce ne sera pas à cause du manque d'efficacité de David ».

Source : Sud-ouest

Le latéral bordelais met l'accent sur l'importance du match programmé dimanche (18 heures) à Sochaux. Et il regrette les absences et les approximations de son équipe à Lille samedi

« Mettre Lille à six points »

Depuis neuf ans qu'il fréquente les installations du Haillan, David Jemmali a connu quelques lendemains de défaite. Aussi ne verse-t-il pas dans le catastrophisme après le déplacement manqué à Lille samedi. Mais il a bien conscience que, pour consolider sa deuxième place au classement, son équipe n'a plus le droit de se louper dimanche prochain (18 heures) à Sochaux pour son match en retard de la 29e journée, annulé début mars en raison d'abondantes chutes de neige.

Avec le recul, comment jugez-vous votre prestation à Lille samedi dernier ?
On peut regretter de ne pas avoir joué la première mi-temps avec la même détermination que la seconde. Plusieurs fois cette saison, on joue 45 minutes au lieu des 90 requises. On rate la première mi-temps ou on gère mal la seconde, on alterne... Quand vous prenez deux buts en six minutes, vous vous dites que vous allez vivre un calvaire. Vous partez avec un lourd handicap. Si, à ce moment-là du match, tout le monde baisse la tête, on en prend dix à l'arrivée. On a essayé de se remobiliser et de s'encourager.
En fait, on est bien revenu dans le match. On a réduit le score mais le troisième but lillois nous a fait mal. Et, au final, on glane zéro point. On traverse une passe assez difficile. Il nous reste quatre matches, dont celui de Sochaux qui sera très important. C'est peut-être notre dernier joker.

Etre mené 2-0 après six minutes tient-il du seul hasard défavorable ?
Non, c'est la sanction d'un début raté et d'un manque de concentration. Trop d'approximations que l'on paie cash. Les Lillois ont produit un pressing constant de la première à la dernière minute, ils ont été énormes sur ce registre. On en était averti et on n'avait pas fait le déplacement seulement pour défendre. On était plein de bonnes intentions que l'on a appliquées en deuxième mi-temps. Lors de ce genre de rendez-vous, c'est un peu tard. Je pense qu'on aurait pu revenir au score. C'est frustrant. Vu l'entame de match, peut-être ne méritait-on pas le nul.

A Lille, vous manquez de réussite sur plusieurs actions de jeu. La chance a-t-elle tourné dans le mauvais sens pour Bordeaux depuis quelque temps ?
Ca fait partie d'une saison. Depuis le début du championnat, on a aussi gagné des matches qu'on ne méritait pas forcément de gagner. On a remporté des victoires bizarres... Là, la chance a tourné, oui. Mais elle se provoque.

La fraîcheur physique revient-elle en cette fin de saison ?
On était un peu fatigués avant la rencontre et je pense qu'on le reste encore. Mais on a fourni une bonne deuxième mi-temps sur le seul plan physique. C'est bon signe. Une ou deux semaines auparavant, on aurait peut-être accusé le coup plus gravement au vu de notre première période. On n'a pas lâché. On vit maintenant une bonne semaine de préparation en vue du déplacement à Sochaux.

Comment aborder Sochaux après cette défaite ?
Elle nous met encore plus de pression. Nous allons être les seuls à jouer, je ne parle pas de l'autre match qui se déroulera le même jour (NDLR : Monaco-Lyon). On sait qu'à la fin de la rencontre, on n'aura pas à demander les scores sur les autres stades pour évaluer notre position. C'est un match hyper important pour cette fin de championnat. Remettre Lille à six points derrière nous est obligatoire pour ne pas instiller le doute dans les têtes.

Comment la préparation de ce rendez-vous doit-elle être orientée ?
Perdre à Lille ne signifie pas la fin du monde. On perdra d'autres matches. Alors, on va se contenter de se préparer tranquillement pour aller à Sochaux, de trouver les mots justes et de bien bosser. C'est dans la sérénité que l'on obtient les meilleurs résultats. Il ne faut pas non plus se mettre trop de pression inutile.


Source : Sudouest.com

Un discours clair...

Ils accusent le coup!

J'espère seulement qu'il vont mettre bouchée double pour prendre les 3 points à Sochaux!

En tout cas, il a de bonnes paroles notre néo-defenseur centrale!

[color:03f8=blue]Jemmali meilleur arrière droit


Le défenseur latéral droit des Girondins, David Jemmali, a été désigné meilleur arrière droit du championnat de France par ses pairs lors de la 15ème cérémonie de l’UNFP.

C'est bien qu'un Bordelais soit dans l'équipe type

Bravo à lui pour cette récompense en tout cas.

nelly64 a écrit:

C'est bien qu'un Bordelais soit dans l'équipe type

Bravo à lui pour cette récompense en tout cas.

Mais en même temps, il n'y en a qu'un! Et nous avons la meilleure defense de France et nous sommes second!
Franchement, ça me dégoute!

savio33 a écrit:

nelly64 a écrit:

C'est bien qu'un Bordelais soit dans l'équipe type

Bravo à lui pour cette récompense en tout cas.

Mais en même temps, il n'y en a qu'un! Et nous avons la meilleure defense de France et nous sommes second!
Franchement, ça me dégoute!

A force on s'y habitue mais c'est certain que ça dégoute toujours de voir ça. Il n'y a qu'à voir également au niveau des coachs, Ricardo n'a même pas fait parti des nominés

nelly64 a écrit:

savio33 a écrit:

nelly64 a écrit:

C'est bien qu'un Bordelais soit dans l'équipe type

Bravo à lui pour cette récompense en tout cas.

Mais en même temps, il n'y en a qu'un! Et nous avons la meilleure defense de France et nous sommes second!
Franchement, ça me dégoute!

A force on s'y habitue mais c'est certain que ça dégoute toujours de voir ça. Il n'y a qu'à voir également au niveau des coachs, Ricardo n'a même pas fait parti des nominés

Ricardo n'est pas entraineur mais manager général alors peut-être qu'il n'a pas pue faire partir de la liste des meilleurs entraineurs

Jemmali avec la Tunisie

David Jemmali a été sélectionné par Roger Lemerre pour le match amical de la Tunisie face au Mali. La rencontre aura lieu le 16 août prochain à Narbonne.

girondins.com

Encore une fois, je pense que Jemmali n'a rien à faire en défense centrale.

Son poste c'est arrière droit...

Tout a fait d'accord mais il nous dépanne bien.

« Je suis dégoûté »: Propos recueillis par Alain Goujon

LIGUE 1
Surprise samedi au Stade de France. David Jemmali est cantonné dans un rôle inattendu de remplaçant. Quelques jours plus tard, il est toujours sonné. Le défenseur bordelais ne s'attendait absolument pas à vivre cette finale depuis le banc de touche. Les larmes aux yeux, au fil de l'entretien qu'il nous a accordé, il a accepté de revenir sur l'une des plus grosses désillusions de sa carrière. Après dix saisons passées aux Girondins, il pensait sûrement mériter plus de respect. « Sud Ouest ».

Trois jours après la finale de la Coupe de la Ligue gagnée mais à laquelle vous n'avez pas participé, la déception domine-t-elle toujours ?
David Jemmali. Elle s'est à peine atténuée. Car je suis dégoûté. Je n'ai pas 20 mais 32 ans. C'était une finale et j'estime que j'avais tous les droits de la disputer. Le matin du match, juste après le petit déjeuner, le coach m'a demandé comment j'allais. Je lui ai répété trois fois que j'avais récupéré complètement de mon déplacement aux Seychelles avec l'équipe nationale de Tunisie et qu'il n'y avait aucun souci. Je suis rentré le dimanche à Tunis et le lundi, j'étais à Bordeaux. J'ai eu cinq jours, même six pour récupérer, je me sentais bien. Il m'a dit qu'il préférait maintenir Wendel à gauche et que c'était entre Franck (NDLR : Jurietti) et moi. Mais comme Franck avait plus de fraîcheur en étant resté ici, il pensait l'aligner. Toutefois, son choix n'était pas encore définitif. Je n'ai pas trop fait attention. Et quand, trois heures avant le coup d'envoi, je n'ai pas vu mon nom, je me suis senti frustré. Et je le suis encore.

Est-ce comme si vous aviez pris un coup de massue sur la tête ?
Tout à fait. On me demande comme je vais, je réponds avec honnêteté et j'ai l'impression qu'on a décidé à ma place que j'étais fatigué. Désolé, mais on ne me prend pas pour un gamin à 32 ans. J'ai le sentiment d'avoir été pris pour un con. C'est tout.

Vous estimez-vous victime d'une injustice ?
J'ai retourné le problème dans tous les sens, je ne sais même plus quoi penser. Qui a tort, qui a raison ? Après, on a gagné. Je suis content pour mes collègues. Lorsque l'arbitre a sifflé la fin, je suis juste allé faire un bisou à Henrique car j'étais content que ce soit lui qui offre la victoire après quatre mois passés à la cave. Ensuite Jo (NDLR : Micoud) a essayé de me prendre par le cou pour partir saluer les supporteurs et monter chercher la coupe. Là, je lui ai dit : « Malgré tout le respect que j'ai pour toi, laisse-moi tranquille », et je suis rentré au vestiaire. Je n'avais pas envie d'aller brandir la coupe, de passer la soirée en boîte. J'étais content pour mes partenaires, les supporteurs et basta, c'est tout. Mon seul souci était de repartir vite pour Bordeaux afin de rejoindre ma petite fille. Et ça m'a fait un bien fou d'arriver à la maison et de la serrer dans mes bras.

Existe-t-il une manière pour digérer une déception aussi immense ?
Ma petite fille, je me répète. Quand je la vois, je retrouve immédiatement le sourire. C'est ce qu'il me fallait, voilà pourquoi je suis rentré très vite. Je me languissais de vivre cet instant.

Considérez-vous que l'on vous a privé d'une récompense que vous méritiez ?
C'est certain. Si j'ai 25 ans, ce n'est pas grave, des finales, j'aurai l'occasion d'en rejouer. Là, ça me rend fou. Il valait mieux que personne ne vienne me parler après le match car j'aurai pu être méchant avec lui. J'ai préféré rester dans mon coin et attendre le retour chez moi.

Aujourd'hui, attendez-vous des explications ?
Des explications, je ne pense pas que je dois en attendre. Pour moi, il n'y en a pas eu avant la finale, je ne vois pas pourquoi elles surviendraient aujourd'hui. Si c'est pour m'entendre répéter que j'étais fatigué. Je ne savais pas que l'on pouvait lire dans la tête et les jambes des gens. C'est comme si on m'avait balancé une droite et cassé la tête. Et je ne m'y attendais pas.

Comment allez-vous vivre la fin de saison, maintenant ?
Je dois oublier, c'est évident. Si je dois tirer la gueule pendant trois mois, cela ne sert à rien. C'est fait, c'est fait. La coupe, on l'a; maintenant, il faut accrocher la qualification pour la Ligue des champions. Il nous reste neuf rencontres pour y parvenir. A nous de nous remettre dans le bain du championnat rapidement. Sur un plan personnel, je suis assez fort de caractère pour me remobiliser et rebondir. Il n'y a pas de souci, j'en ai vu d'autres. Je suis confiant pour la suite à condition d'être aligné samedi à Auxerre.

Vous êtes en fin de contrat en juin prochain, comment voyez-vous votre avenir ?
Je le vois à Bordeaux pour neuf matches. Après, on verra."

Pas d'accord avec David.

Il ne doit pas y avoir de passe-droit dans l'équipe. Le seul titulaire indiscutable, c'est Ramé (poste particulier en plus).

De plus les évènements ont donné raison à Ricardo : l'équipe qu'il a composé a gagné, et c'est là l'essentiel.

Mais de là à aller pleurer dans la presse car il n'a pas joué la finale, je trouve ça dommage...

esox33 a écrit:

Pas d'accord avec David.

Il ne doit pas y avoir de passe-droit dans l'équipe. Le seul titulaire indiscutable, c'est Ramé (poste particulier en plus).

De plus les évènements ont donné raison à Ricardo : l'équipe qu'il a composé a gagné, et c'est là l'essentiel.

Mais de là à aller pleurer dans la presse car il n'a pas joué la finale, je trouve ça dommage...

+1

Etonnant quand même de la part d'un joueur fidèle aux Girondins et compétiteur dans l'âme qu'il ne soit même pas venu saluer le public et partager ce moment magique avec les supporters !!!

Privilégierait-il ses intérêts personnels au rendement et à la prestation de l'équipe ???

Bien décevant en effet... Un joueur n'a pas à revendiquer quoi que ce soit... Un entraîneur doit faire des choix et choisir une équipe, c'est automatiquement délaisser du monde... A 32 ans, Jemmali n'est en effet plus un gamin, mais il affiche un côté capricieux et individualiste qui ne l'honore pas...

Je comprends la réaction de David...

La titularisation de Wendel à ce poste d'arrière latérale gauche a bien failli nous couter cher!

Il n'a pris que des courants d'air par Govou durant toute la première période.
Heureusement que Ricardo a modifié sa bêtise en le faisant glisser au milieu en seconde période pour permettre à Marange de prendre sa place.
Marange et Jurietti à la place de David pourquoi pas ? Mais Wendel certainement pas !
David méritait un peu plus de respect...

scotikerr a écrit:

Je comprends la réaction de David...

La titularisation de Wendel à ce poste d'arrière latérale gauche a bien failli nous couter cher!

Il n'a pris que des courants d'air par Govou durant toute la première période.
Heureusement que Ricardo a modifié sa bêtise en le faisant glisser au milieu en seconde période pour permettre à Marange de prendre sa place.
Marange et Jurietti à la place de David pourquoi pas ? Mais Wendel certainement pas !
David méritait un peu plus de respect...

Je suis totalement d'accord avec toi! Jemmali est à Bordeaux depuis bien longtemps, et il n'est pas mauvais! La preuve il a été sélectionné en équipe nationale de Tunisie, et puis il a eu le temps de récupérer. Bref c'est un choix de Ricardo, donc on ne peut pas contredire le coach...

De toute facon, pour moi, Jemmali il va partir a la fin de la saison. Il n'a pas eu de proposition de contrat et il ne joue plus. Peut etre que Ricardo n'attend plus rien de lui...

Fort possible en effet...
Peut-être que Ricardo a en tête de placer Jurietti à droite l'an prochain... Mais de toute manière, il ne semble plus du tout compter sur David...

A-t-il tort, a-t-il raison??? L'avenir nous le dira...

Une chose est sûre : David est attaché au club et le voir partir enlevera une "âme" fidèle au club...

Mais, bon... N'est-ce pas l'apanage du football moderne et d'un club qui se voudrait ambitieux ???

Tout est possible...

Moi je prefererai voir Faubert plutot que Jurietti a doite. Il pourrait faire une bonne paire avec Alonso placé devant lui! De plus, c'est sa position de base sur le terrain!

J'aimerai que l'on garde David. Ok, il a parlé dans la presse, il a été "puni" mais bon, faut passer à autre chose. Il a fait beaucoup pour le clus, il mérite de rester (tout comme mon Darche et mon petit Marco)

Walou a écrit:

Moi je prefererai voir Faubert plutot que Jurietti a doite. Il pourrait faire une bonne paire avec Alonso placé devant lui! De plus, c'est sa position de base sur le terrain!

En effet, c'est une autre possibilité... D'autant plus si Ricardo remanie son milieu de terrain comme il en est de plus en plus question pour l'an prochain, mais bon, ce ne sont que des rumeurs!!!

misstère a écrit:

J'aimerai que l'on garde David. Ok, il a parlé dans la presse, il a été "puni" mais bon, faut passer à autre chose. Il a fait beaucoup pour le clus, il mérite de rester (tout comme mon Darche et mon petit Marco)

c'est étonnant qu'on mette un baillon sur la bouche des gens dans un pays de liberté !

david a dit ce qu'il avait à dire , il l'a bien fait et poliment en plus...

depuis qu'on l'utilise il a toujours eu une attitude exemplaire sur le terrain et s'est toujours comporté en bon professionnel. il considère sa non qualification comme une injure et il a raison...
le fait qu'il s' explique sur sa déception et son désaccord avec le coach, fait partie intégrante de son mêtier ou alors qu'on supprime les media et qu'on vive sans savoir ce qui se passe ou ce qui se dit.

quand au remplacement de david (il faut quand même y penser) ce n'est pas faubert qu'il faut, c'est un véritable arrière de mêtier genre francois clerc ( par exemple).

en plus j'ai bien peur que julien ait atteind ses limites et qu'il ne puisse plus progresser, même sur le plan offensif. sera t'il encore là la saison prochaine ...

bonnes fêtes de pentecôte
didier de mees.